Et si on se passait des assurances complémentaires de santé ? La Sécurité sociale pourrait prendre en charge toutes les dépenses de maladie des Français. C’est le projet de « Grande Sécu » que porte le ministre de la Santé Olivier Véran. Le directeur de l’AP-HP Martin Hirsch et le président de la Mutualité française Eric Chenut en débattent pour « l’Obs ».| Le Nouvel Obs
Le Premier ministre a signifié ses intentions au « JDD » : un an après la dernière réforme de l’assurance chômage, le nouveau chef du gouvernement veut aller plus loin.| Le Nouvel Obs
Comme à l’accoutumée, la France insoumise a déposé une motion de censure qui sera étudiée lundi matin. Si elle est rejetée, le budget de la Sécurité sociale sera définitivement adopté.| Le Nouvel Obs
Repêché par Emmanuel Macron, l’ex-ministre de Sarkozy a d’abord incarné une droite libérale. Mais avec la crise sanitaire, l’argentier de Bercy est devenu un champion de l’interventionnisme et a gagné en popularité ! De quoi aiguiser ses ambitions…| Le Nouvel Obs
Dans un entretien au « Monde » ce mercredi, le ministre de l’Economie a déclaré qu’« une réforme de l’assurance-chômage est nécessaire pour atteindre le plein-emploi », réaffirmant la volonté du gouvernement de durcir les droits en la matière.| Le Nouvel Obs
Derrière la réforme de l’assurance-chômage, on retrouve l’idée libérale selon laquelle il suffit de « traverser la rue » pour trouver du travail. Marylise Léon, numéro deux de la CFDT, en débat avec Gilbert Cette, économiste spécialiste du travail.| Le Nouvel Obs
Les mesures annoncées visent à réduire de 150 000 à 250 000 le nombre de demandeurs d’emploi et à atteindre 3,4 milliards d’euros d’économies, d’ici 2021.| Le Nouvel Obs
Le déficit public est bien plus important que les 4,8 % réalisés en 2022 et les 4,9 % initialement prévus par le gouvernement pour 2023. « Ma détermination à rétablir les finances publiques est intacte », a réagi le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.| Le Nouvel Obs
Il ne tient pas compte de la « taxe inflationniste », qui allège la dette publique au détriment du pouvoir d’achat des épargnants. Celle-ci n’apparait ni dans la comptabilité nationale, ni dans les règles budgétaires européennes| Le Nouvel Obs