La qualification de génocide pour décrire les actes de l’armée israélienne à Gaza est d’abord apparue comme un marqueur de la gauche radicale. Mais plus la situation humanitaire devient tragique, plus la responsabilité du pouvoir israélien est largement dénoncée, et jugée génocidaire.| La Croix
L’Afrique du Sud et Israël s’affrontent devant la Cour internationale de justice (CIJ), organe judiciaire principal de l’Organisation des Nations unies, ce jeudi 11 janvier. Les Sud-Africains accusent l’État hébreu de commettre des « actes génocidaires » contre les Palestiniens de la bande de Gaza.| La Croix
Face à un monde qui commence à légitimer le mot génocide, la société israélienne amorce un début de prise de conscience, tout en soutenant majoritairement l’expulsion des Palestiniens de Gaza. Une contradiction qui reflète les tensions entre passé, présent, et leur utilisation politique.| La Croix
Avec près de 40 000 déplacés palestiniens en un mois, l’opération « Mur de fer », lancée par Israël contre les camps de réfugiés du nord de la Cisjordanie, ravive les souvenirs des guerres de 1948 et 1967. Pour ceux qui restent dans ces camps, les conditions de vie se dégradent de jour en jour.| La Croix
Rapports, tribunes, appels onusiens à « empêcher un génocide »… L’utilisation de cette qualification juridique, jadis taboue pour dénoncer l’action militaire israélienne à Gaza, se banalise dans le discours public.| La Croix