En 2012, 15,4 % des salariés (21,5 % des hommes et 9,3 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.| DARES
Pour un salarié à temps complet, travailler la nuit a pour contrepartie un salaire mensuel net plus important que pour un salarié de profil similaire ne pratiquant pas cet horaire.| DARES
En 2024, 10,9 % des personnes en emploi travaillent au moins une fois de nuit sur une période de quatre semaines consécutives. Cette part, en légère baisse en 2024, est supérieure de 0,9 point à son niveau de 2020, mais demeure en-deçà de celui observé avant la crise sanitaire (11,9 % en 2019).| DARES