"Celui qui contrôle le présent contrôle le passé. Celui qui contrôle le...| CONTRETEMPS
À propos de Rosa Luxemburg, Antonio Gramsci actuels, Marie-Claire Caloz Tschopp, Antoine Chollet and Romain Felli (éd.), Paris, Kimé, 2018, 391 p, 29€.| CONTRETEMPS
Intellectuel marxiste prolifique et militant révolutionnaire infatigable, longtemps dirigeant de la Quatrième internationale, Ernest Mandel est mort il y a exactement 25 ans.| CONTRETEMPS
Romain Descendre et Jean-Claude Zancarini viennent de publier aux éditions la Découverte un livre appelé à faire date sur Antonio Gramsci. Alors que son nom fait l'objet régulièrement de tentatives d'appropriation venant de tous les secteurs du champ politique, y compris l'extrême droite, ce livre propose une lecture extrêmement précise et riche de ce que les auteurs nomment "l’œuvre-vie" de Gramsci, tant on ne peut séparer chez lui la vie du dirigeant communiste et l’œuvre du...| CONTRETEMPS
1917 reste un moment de basculement qui n’a guère de précédent dans l’histoire mondiale –...| CONTRETEMPS
En 1927, Boukharine écrit : « Sous la dictature du prolétariat, deux, trois ou quatre partis peuvent exister mais à une seule condition : l'un au pouvoir, les autres en prison ». « Analyse » devenue dogme sinistre. Pourtant le cheminement fut lent pour y parvenir, entièrement contradictoire avec l'histoire même du parti bolchevik, et la théorisation encore bien plus. Produit mal maîtrisé des circonstances ou racines profondes ?| CONTRETEMPS
Le texte que nous republions est parmi les plus connus et traduits de Rossana Rossanda[1]. Il porte avec une intensité exceptionnelle la marque de son époque et l’acuité intellectuelle et politique de son autrice. Son écriture et sa parution (octobre 1969) est contemporaine à la fois du début du processus d’exclusion du groupe des animateurs d’Il Manifesto (l’exclusion elle-même fut prononcée en novembre) et de ce que l’on appelé « l’automne chaud » italien, à savoir...| CONTRETEMPS
Que pensait le jeune Antonio Gramsci de la Révolution russe ?...| CONTRETEMPS
L’abandon par les partis communistes français et espagnol (mais aussi par le Parti communiste portugais, dès son congrès d’octobre 1974) du concept de dictature du prolétariat ouvre un débat fondamental dans le mouvement ouvrier international. L’affaire n’est pas secondaire, puisque c’est précisément sur la question, théorique et pratique, de la dictature du prolétariat que s’est, au début des années vingt, divisé et réorganisé le mouvement ouvrier selon des lignes d...| CONTRETEMPS