On évoque régulièrement la possibilité de faire revenir à la vie des espèces disparues. Le fameux dodo ou le terrible tigre de Tasmanie. Et même le mammouth, animal emblématique des récits préhisto…| Le nocher des livres
Le jury a parlé, et au terme d’une délibération épique faite de communications entre différentes personnes éloignées de plusieurs centaines de kilomètres (merci l’Ansible ! 😀 ), le lauréat du Prix Planète-SF 2024 a été annoncé, comme le montre le magnifique visuel ci-dessous. Bravo donc à Alastair Reynolds... Suite -> Cet article La Maison des soleils, de Alastair Reynolds, Prix Planète-SF 2024 est apparu en premier sur Lorhkan et les mauvais genres.| Lorhkan et les mauvais genres
Alastair Reynolds fait partie des grands auteurs de SF contemporaine, plutôt typé « hard-SF ». Auteur réputé depuis de nombreuses années, avec une base scientifique incontestable (il a notamment travaillé pour l’ESA), il est revenu en 2022 en France en haut de l’affiche avec l’excellente novella « La Millième Nuit » puis en 2023... Suite -> Cet article La Maison des Soleils, de Alastair Reynolds est apparu en premier sur Lorhkan et les mauvais genres.| Lorhkan et les mauvais genres
Greg Egan, c’est un peu l’Everest de la hard-SF. Et comme toutes les montagnes, il a deux versants. Le versant hardcore, purement analytique et réservé aux initiés en physique et autres matières scientifiques qui finissent -ique et que peu parviennent à bien comprendre. Et le versant plus accessible, qui reste... Suite -> Cet article Instanciations, de Greg Egan est apparu en premier sur Lorhkan et les mauvais genres.| Lorhkan et les mauvais genres
Ah, un Bifrost ! Ça faisait longtemps. Et ce sera peut-être l’occasion de me remettre en selle question chroniques (et lectures aussi d’ailleurs…), parce que c’est un peu le désert par ici depuis un certain temps… Un Bifrost un peu spécial puisqu’il ne s’intéresse pas à un auteur ou une... Suite -> Cet article Bifrost 113, spécial intelligence artificielle est apparu en premier sur Lorhkan et les mauvais genres.| Lorhkan et les mauvais genres
C’est Baroona qui gagne, il est trop fort ! Parce que oui, jamais quatre sans cinq (même si l’ordre des chroniques sur ce blog ne respecte pas forcément l’ordre de mes lectures), je n’ai pas pu m’en empêcher, j’ai rempilé… 😀 Mais bon, quand c’est pour la collection « Une Heure-Lumière »,... Suite -> Cet article Symposium Inc, de Olivier Caruso est apparu en premier sur Lorhkan et les mauvais genres.| Lorhkan et les mauvais genres
Jamais deux sans trois, ce n’est pas suffisant. J’en appelle donc au jamais trois sans quatre ! Après Alastair Reynolds, Paul Di Filippo, Michael F. Flynn, voici Alice « James Tiptree Jr » Sheldon avec un texte de 1976 paru en France en 1986 dans le livre d’or consacré à l’autrice (car... Suite -> Cet article Houston, Houston, me recevez-vous ?, de James Tiptree Jr est apparu en premier sur Lorhkan et les mauvais genres.| Lorhkan et les mauvais genres
Jamais deux sans trois, n’est-ce pas ? Alors pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Après tout, quand la lecture est bonne (bonne, bonne… hum, pardon)… Place donc à une troisième lecture consécutive de la collection UHL, pour toujours autant de plaisir. Sont forts aux éditions du Bélial’, sont vraiment... Suite -> Cet article Connexions, de Michael F. Flynn est apparu en premier sur Lorhkan et les mauvais genres.| Lorhkan et les mauvais genres
Allez, on enchaine. J’ai du retard dans la collection UHL, et comme le standard de qualité est du genre +++, on peut y aller en toute confiance en étant à peu près sûr de prendre son pied. La preuve avec un auteur trop méconnu chez nous, Paul Di Filippo, et...Suite ->| Lorhkan et les mauvais genres
Il me faut ma dose. Sinon je commence à devenir fébrile, les mains qui tremblent, etc… Donc il me faut ma dose. Ma dose de sense of wonder. La collection « Une heure-lumière » est l’un de mes fournisseurs favoris, et quand la collection s’acoquine avec Alastair Reynolds, l’un des grands écrivains...Suite ->| Lorhkan et les mauvais genres
De Audrey Pleynet, j’ai lu quelques œuvres, toujours avec plaisir. Son recueil « Ellipses » permettait déjà de discerner un grand talent en devenir, ses écrits postérieurs l’ont ensuite vu grimper les marches du secteur éditorial une à une, entre auto-édition, anthologies plus ou moins confidentielles, jusqu’à dernièrement des éditeurs reconnus dans...Suite ->| Lorhkan et les mauvais genres
« Éversion » est le dernier roman en date de Alastair Reynolds, et il est vachement bien. Voilà, merci, au revoir. Ça c’est la version courte de ma chronique, et sans doute au fond la seule qui vaille puisque pour profiter au maximum du roman, il ne faut rien en savoir (même...Suite ->| Lorhkan et les mauvais genres