Publier les livres que nous publions, des outsiders, des parias, des inattendus, des sous-estimés, des inadaptés, des météores, des livres auxquels on tourne le dos, des livres qu’on ne voit pas, des livres qui sortent de nulle part, pas d’un « nulle part » séduisant ou exotique, mais d’un « nulle part » sombre, un [...]| Monsieur Toussaint Louverture
Publier un livre n’est pas vraiment un acte intellectuel, artistique, commercial – ou ce que vous voulez – simple à décrire OU à analyser, et quand bien même, qui ça intéresse ? Bon, je vais faire comme si je n’avais pas soulevé cette pertinente question, je vais couper Netflix et me concentrer sur mes mains (précepte [...]| Monsieur Toussaint Louverture
Bon, hé bien, voilà, il y a toujours un moment vertigineux et stressant (en fait, à me relire, on dirait que la vie d’éditeur est très souvent vertigineuse et stressante, comme si nous étions des traders ou des aventuriers, mais c’est un mensonge éhonté, elle est en permanence vertigineuse et stressante), où à l’aveugle (en [...]| Monsieur Toussaint Louverture
Ah… Emil Ferris et ses Monstres… Nous en avons déjà un peu parlé, nous avons emporté de haute lutte les droits d’un livre (cette histoire sera abordée en détails, promis), non, de deux (livre…| Monsieur Toussaint Louverture
Un peu de monstres dans ce monde de brutes C’est une histoire incroyable, une histoire comme on s’en moque parfois, tellement américaine : quand une homme ou une femme sur qui la vie s’acharne, se bat, pour se hisser à la force du poing au sommet. Non, ce n’est pas de Rocky Balboa qu’on va … Lire la suite de Moi, ce que j’aime, c’est les monstres, d’Emil Ferris ⚠️⚠️⚠️| Bretelle d'accès