Dès 1860, alors que le carbone n’a pas encore envahi l’atmosphère et que le plastique n’existe pas, le géographe et militant anarchiste Élisée Reclus décrit les humains comme des agents géologiques qui modifient le climat. Tout au long de son œuvre monumentale, il parvient à rendre le monde plus familier tout en déployant l’idée d’une condition terrestre. L’article Élisée Reclus, l’anthropocène avant l’heure est apparu en premier sur Terrestres.| Terrestres
Lire hors-ligne :En désignant les classes capitalistes occidentales comme responsables en premier lieu des dérèglements climatiques, Jason W. Moore, Yoan Molinero Gerbeau, Álvaro San Román Gómez en appellent à un […]| CONTRETEMPS
Savons-nous regarder les natures abîmées de l’anthropocène ? Anna Tsing peut nous y aider : rendez-vous le 13 juin à l’Académie du climat à Paris.| Terrestres
Paul Guillibert · Préface à « L'écologie monde du capitalisme » : une introduction limpide à la pensée écomarxiste de Jason W. Moore.| Terrestres