Avec Kolkhoze, Emmanuel Carrère rend hommage à sa mère. De ce portrait, ressort autant l'amour du fils qu'un certain aveuglement et une tendance à arrondir les angles. Cet article Entre autofiction et généalogie est apparu en premier sur En attendant Nadeau.| En attendant Nadeau
Je viens de refermer D’autres vies que la mienne d’Emmanuel Carrère, et j’en ressors avec un sentiment ambivalent. Ce n’est pas un mauvais livre, loin de là. Carrère écrit avec une lucidité remarquable, une finesse d’observation qui force le respect. Il parvient à raconter l’insoutenable sans jamais tomber dans le pathos, ce qui est en soi une prouesse. Mais malgré cette qualité d’écriture, je n’ai pas aimé cette lecture. Ou plutôt : je n’étais pas en état de la...| Depuis le cadre de ma fenêtre
My five favorite books that I read in 2022.| Mike Casey