Réveil à 6h. Je veux tenter une sortie longue en prévision d’une encore plus longue. Comme chaque printemps, j’ai l’espoir de ne pas tomber sur des conditions trop pénibles lorsque ça fond. Comme chaque printemps, je me retrouve à viser les arbres entre deux plaques de verglas pour pouvoir me rattraper dans les dévers. Sans compter le fait que le sentier qui a été tapé par les raquettes tout l’hiver est bien souvent le seul serpent de glace restant. Un exemple parmi tant d...