«Voilà comment on endort un peuple. Chaque année, on fait miroiter une forme d’ascension sociale à quelques jeunes roturières, la perspective d'un beau mariage, d'un nom, du confort matériel. Chacun peut imaginer sa fille, sa nièce, sa sœur dans cette femme anonyme [...] Voilà ce qui les pousse à accepter une vie de misère et une après-midi de libre par semaine : l'infime espoir que leurs enfants pourront améliorer leur condition.»