A l’annonce du score du Rassemblement national et de la dissolution de l’Assemblée nationale, l’essayiste, soutien de Raphaël Glucksmann, confie avoir « l’âme broyée », disant revivre un choc similaire à celui de l’élimination de son frère Lionel Jospin du second tour de l’élection présidentielle au profit de Jean-Marie Le Pen il y a vingt-deux ans.