Il y a bientôt cinq ans, le 17 mars, nous étions confiné·es, coincé·es dans nos maisons pour les plus chanceux et chanceuses qui ont des maisons et n’ont pas été tenu·es de sortir faire marcher l’économie en s’entassant dans des métros aussi rares que bondés. Certain·es ont apprécié de rester en famille ou de faire leur jardin, d’autres se sont fait chier ou ont vécu huit semaines infernales, notamment celles et ceux étaient logé·es dans des appartement trop petits ...