Une « guerre des chiffres » fait rage depuis la frappe sur l’hôpital Ahli Arab de Gaza mardi 17 octobre. Le ministère de la santé de l’enclave, aux mains du Hamas, est soupçonné d’avoir surestimé le nombre des victimes. Lors des précédentes guerres à Gaza, ses chiffres avaient été globalement corroborés par les Nations unies.