Malgré un répit politique de courte durée, après des mois de contestation en interne, le premier ministre israélien risque de subir un droit d’inventaire sévère. Le « Monsieur sécurité » d’Israël est déjà accusé d’avoir accru la vulnérabilité d’un pays divisé, en s’enferrant dans sa réforme judiciaire.