Un corps d'avance de Lou Jan La première chose qui frappe en ouvrant Un corps d'avance (roman lu en service de presse), c'est l'écriture de Lou Jan, qui pousse à son extrême (en surponctuant, dirait Drillon) ce que le XVIIIe siècle appelait le style coupé (page 11, le prologue ouvrant le roman) : "Des lapiez strient le plateau sommital. Le calcaire affiche ses