De nouvelles études suggèrent un lien entre le changement de proportion de deux bactéries intestinales communes et la gravité des symptômes chez les personnes souffrant de sclérose en plaques. Bien que des études supplémentaires soient nécessaires, les premiers résultats indiquent la présence d’un marqueur microbien potentiel utile pour le suivi de la maladie.