Accusé de favoritisme dans l'affaire Tisséo, Jean-Michel Lattes risquait huit mois de prison avec sursis, 10 000 euros d’amende et deux ans d’inéligibilité. Le tribunal de Toulouse a prononcé sa relaxe ce lundi 16 juin 2025. Pour les juges, le président de Tisséo Collectivités et adjoint au maire n'avait pas pas connaissance de "la connivence frauduleuse