Une équipe de l’Institut Curie, de l’Inserm et du CNRS a mis en lumière un nouveau mécanisme moléculaire, jusqu’alors inconnu, liant les œstrogènes (hormones sexuelles féminines) à l’aggravation de certains cancers non classiquement considérés comme hormono-dépendants, tels que le mélanome, le cancer gastrique ou encore le cancer de la thyroïde. L’article Des hormones sexuelles au cœur d’un nouveau mécanisme pro-métastatique : une avancée majeure pour mieux compre...