Plutôt Bernardo que Zorro. Comme le fidèle serviteur de Don Diego de la Vega, Georges-François Leclerc se veut discret. Comme lui, il aimerait se faire passer pour sourd et muet. Pour mieux faire part à son maître, comme le personnage de fiction, de ce qui lui revient d’indiscrétions ? Nommé il y a deux ans,