Copiloté par le CEA, le CNRS et l’Inserm, le Programme de recherche « Organes et organoïdes sur puces » vient d’être lancé à Grenoble. Financé par l’État dans le cadre du plan France 2030 à hauteur de 48,4 millions d’euros sur 6 ans, il a pour objectif de concevoir une nouvelle génération de modèles biologiques extrêmement précis, permettant de mimer le fonctionnement de tissus humains spécifiques tels que le foie, le poumon, le cerveau ou le cœur.