Le 12 mai 2025, le PKK annonce sa dissolution après quarante ans de lutte armée, un geste historique motivé par des défaites militaires, une perte de légitimité populaire, et un bouleversement géopolitique régional. Cette décision ouvre un nouvel espace politique pour les partis kurdes légaux en Turquie, affranchis de l’étiquette terroriste, mais risque aussi de renforcer le pouvoir autoritaire d’Erdoğan, qui pourrait exploiter cette paix pour asseoir son emprise sur le systè...