Le rapport que l’on a à la maintenance dans un monde fini devrait être à la fois notre inspiration et notre borne maximale. On sait qu’il faudrait réduire mais… l’attrait de la nouveauté. Probablement un truc qui nous a fait survivre et évoluer se raconte-t-on, sans réussir à voir que c’est aussi ce qui va nous éteindre. Le défi de notre espèce est de savoir retourner cette façon de voir le monde. Et peut-être que la maintenance en est le premier pas. De la main tenue...