Tout tangue toujours aussi fort. Le temps ne se mesure plus en jours ni en semaines mais en étirements : du dernier rendez-vous psy aux prochains rassemblement sociaux, de la dernière deadline boulot aux prochains voyages pro/perso. Entre deux événements je dérive et j’essaie de ne pas trop boire la tasse. J’ai souvent peur que mon endurance lâche, mais je crois m’en sortir mieux que je ne le ressens.