Les deux chevreuils « – Vous devriez, mon fils, être moins téméraire ; Vous vous exposez seul, vous parcourez les bois. Eh ! Ne savez-vous pas qu’un tigre sanguinaire, Fameux depuis longtemps par ses cruels exploits, A ceux de notre race a déclaré la guerre ? Ainsi parlait à son fils un chevreuil. – Mon père, je vous remercie. […] L’article Du danger de diaboliser ses adversaires est apparu en premier sur Renaissance Catholique.