Cette victoire d'un économiste qui se définit comme "anarcho-capitaliste" - et qui appartient plus précisément au courant "paléolibertarien" analysé notamment par Pablo Stefanoni - ouvre en tout cas un scénario inédit et imprévisible. Comment comprendre ce basculement politique qui a porté au pouvoir un homme sans expérience politique ni véritable mouvement structuré derrière lui, mais appartenant à une nouvelle extrême droite globale ?