Les lecteurs de Camus se souviennent toujours de la première phrase du Mythe de Sisyphe. La violence avec laquelle l’auteur y rejette comme « futile » tout un ensemble d’interrogations philosophiques est presque grotesque. Camus semble vouloir choquer son lecteur. L’on peut, pour expliquer la brutalité de cette ouverture, invoquer des raisons personnelles. Roger Quilliot, … Lire la suite →