La décision américaine de détruire environ 10 millions de dollars de contraceptifs féminins stockés en Europe a déclenché une levée de boucliers. Pour l’heure, un flou demeure autour de ces stocks, qui pourraient être incinérés en France. Le ministère de la Santé a assuré n’avoir « aucun moyen pour [les] réquisitionner ».