Il y a un an, j'avais chroniqué cette sinistre abomination quantique qu'est La Beuze, où rien, mais alors absolument RIEN n'allait. Alors, pour faire amende honorable envers Michael Youn, j'ai cette année décidé de dédier un article à l'une de ses comédies qui marche bien mieux sur ses deux jambes, et aurait même pu être un grand film si seulement, ô si seulement, elle avait eu un regard un peu plus critique sur son sujet.