L'Iran poursuit sa répression du mouvement « Femme, Vie, Liberté » en visant quelques-unes de ses figures les plus médiatiques. Il y a quelques semaines, la sentence de la traductrice Sepideh Rashno s'allongeait, approchant des quatre années de prison pour la publication d'« images obscènes ». Le rappeur Toomaj Salehi écope pour sa part d'une nouvelle année de détention, accusé de « propagande ».