Ecrire ce texte nous a paru nécessaire dès lors qu’on s’est rendu compte qu’on était très nombreux-ses dans les milieux anti-autoritaires à avoir subi non seulement la répression policière, mais aussi les attaques incessantes de nos soi-disant « compagnon-nes » qui passent leur temps à cracher sur ce qui n’est pas assez radical à leur gout, tout en refusant de remettre en question les oppressions qu’on subit et auxquelles iels participent, parfois en les niant activemen...