Cet article met en lumière le mythe de l'exil fiscal massif des ultra-riches, souvent invoqué pour justifier le statu quo fiscal. En s'appuyant sur des études récentes, il démontre que les départs sont peu nombreux, que leur impact macroéconomique est marginal, et qu'une réforme de l'imposition des plus fortunés reste non seulement faisable mais nécessaire pour renforcer la justice sociale. - Un autre budget est vital ! / SUM