Et si la vaccination pouvait se faire par simple application cutanée plutôt que par injection ? Une équipe de chercheurs de l’Inserm, de l’Institut Curie et du King’s College London s’est intéressée à l’impact des contraintes mécaniques externes (extension de la peau, frottements…) sur l’imperméabilité de la peau chez l’animal et chez l’humain. L’article Masser la peau pour vacciner : une alternative possible aux injections ? est apparu en premier sur Salle de pre...