Avec le choix de sa nouvelle porte-parole, le Parti socialiste démontre sa perméabilité à la feuille de route des techno-fascistes outre-Atlantique, estime le doctorant Thomas Le Bonniec. En effet, Julie Martinez est salariée de Palantir, une entreprise américaine qui « incarne, dans toute sa brutalité, un régime de surveillance privatisé et dictatorial, en contradiction totale avec la démocratie ».