Une minute dure six respirations Ce n'est pas la première fois que je lis un livre tête-bêche, dans lequel on peut débuter par des entrées différentes. Le plus connu, et celui qui m'est le plus cher, est bien sûr Marelle de Julio Cortázar. Je me souviens aussi du livre de Milorad Pavić, L'envers du vent. Dans ce livre, l'auteur serbe invente la forme du roman-sablier. Composée de deux parties disposées tête-bêche, cette œuvre possède deux débuts et une seule fin, située au mi...