Il n’est pas de cinéma sans regard. Et il n’est pas de regard sans structure sociale, sans hiérarchie, sans répartition symbolique des rôles, des corps et des désirs. Le cinéma, art collectif, art narratif, art du visible, est aussi un lieu d’idéologie. Il ne fait pas que montrer : il organise. Il cadre, sélectionne, distribue. […] L’article Malheurs et bonheurs de la femme agissante dans le cinéma populaire est apparu en premier sur Éditions Agone.