À propos d’un manque qui comble et de son joueur paradoxe, une formidable leçon de critique poétique et imaginative de la traduction, de l’écriture et de la lecture. x C’est de l’ordre de la révélation, donc de l’apocalypse, mais aussi de la farce. On n’en croit pas ses yeux, ou plutôt on ne peut que … Lire la suite →