Ces derniers jours, à deux reprises, j’ai entendu : « C’est le moyen \[les réseaux sociaux avec algorithmiques prescripteurs et leurs services de collecte de d…| Thierry Crouzet
Rassurez-vous, je ne vais pas me suicider, quoi que pour certains ce que je m’apprête à faire puisse paraître comme un suicide numérique.| Thierry Crouzet
_Ma sélection du dimanche : 14 liens et une photo prise depuis ma terrasse._| Thierry Crouzet
Le GPS a révolutionné ma façon de faire du vélo. Il y a un avant et un après. Je serais incapable de revenir en arrière et vais tenter d’expliquer pourquoi.| Thierry Crouzet
Imaginez un café immense et bondé, où tout le monde tente de crier plus fort que les autres pour se faire entendre, voire pour attirer l’attention du plus gran…| Thierry Crouzet
Quand je publie un nouveau livre comme Épicènes, il ne se passe rien ou presque, à part quelques chroniques par les influenceurs à qui mes éditeurs offrent des…| Thierry Crouzet
Tout gamin, instinctivement, je me suis méfié des modes. Quand tout le monde s’est mis à écouter du disco, j’ai trouvé ça louche.| Thierry Crouzet
Dans Rush, à paraître à l’automne chez PVH, je dialogue avec Charlie, une IA ou peut-être mon double.| Thierry Crouzet
J’ai quitté les réseaux sociaux centralisés depuis plus de trois mois, c’est le moment de faire le point et de partager quelques pensées.| Thierry Crouzet
Pour fêter la sortie d’Épicènes chez À la flamme, Katia m’a invité à La Librairie Nomade pour parler du roman.| Thierry Crouzet
Face à la montée du technofascisme, nous sommes en 1940, et tout le monde continue sa vie comme si de rien n’était ou presque. Ça me fiche la trouille.| Thierry Crouzet
Petit accrochage avec mon fils puîné : il désire un abonnement Spotify au prétexte que c’est pratique et simple.| Thierry Crouzet
Depuis le salut nazi de l’autre zigue, ou son semblant de salut nazi, on s’ameute sur les réseaux sociaux technofascistes pour crier au technofascisme.| Thierry Crouzet
Pour un matérialiste comme moi, le qualificatif « ultime » est presque un gros mot, mais si, comme l’annonce Satya Nadella, nous vivons la fin des logiciels de…| Thierry Crouzet