Cet été, « M » passe les portes des hôtels mythiques du cinéma. En 2007, Wes Anderson transforme en théâtre du désarroi sentimental l’« Hotel Chevalier », transposition du luxueux et discret Hôtel Raphael, à Paris.| Le Monde.fr
« Il va y avoir du sport... et du design ! » (1/6) A l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, notre sélection de créations inspirées par des pratiques sportives. Cette semaine, le tennis.| Le Monde.fr
Cet été, « M » passe les portes des hôtels mythiques du cinéma. En 2015, Paolo Sorrentino fait du Waldhaus Flims, un hôtel majestueux dans les Alpes suisses, le décor de « Youth », une comédie très amère sur le temps qui passe.| Le Monde.fr
Cet été, « M » passe les portes des hôtels mythiques du cinéma. Le Victoria, dans un village du Yorkshire, a servi de refuge au héros de « Phantom Thread », de Paul Thomas Anderson, un couturier parti sur la côte anglaise pour échapper aux mondanités – et à lui-même.| Le Monde.fr
« Il va y avoir du sport… et du design ! » (4/6) A l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, notre sélection de créations inspirées par des pratiques sportives. Cette semaine, le ping-pong.| Le Monde.fr
Cet été, « M » passe les portes des hôtels mythiques du cinéma. En 1959, Billy Wilder tourne « Certains l’aiment chaud » à l’Hotel del Coronado, dit « The Del ». Cet établissement proche de San Diego, en Californie, est alors l’un des lieux de villégiature préférés des stars de l’époque.| Le Monde.fr
« Bain de soleil » (2/6). L’été, chacun cherche sa chaise longue. La designer espagnole Patricia Urquiola s’est inspirée de trampolines capables de résister à l’hiver groenlandais pour créer une collection de mobilier de jardin, dont ce transat aux couleurs vivifiantes.| Le Monde.fr
« Il va y avoir du sport… et du design ! » (2/6) A l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, notre sélection de créations inspirées par des pratiques sportives. Cette semaine, la boxe.| Le Monde.fr
« Bain de soleil » (1/6). L’été, chacun cherche sa chaise longue. En 1969, dans le film de Jacques Deray, Romy Schneider se prélasse sur un transat au style pop imaginé par l’Italienne Gae Aulenti. Une pièce récemment rhabillée par le créateur de mode Simon Porte Jacquemus.| Le Monde.fr