Le président argentin d'extrême droite Javier Milei a été accueilli avec enthousiasme au Forum économique mondial de Davos. L'accueil chaleureux qui lui a été réservé est un signe de la direction que prend le radicalisme bourgeois dans la crise de plus en plus profonde du néolibéralisme.| CONTRETEMPS
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Cette victoire d'un économiste qui se définit comme "anarcho-capitaliste" - et qui appartient plus précisément au courant "paléolibertarien" analysé notamment par Pablo Stefanoni - ouvre en tout cas un scénario inédit et imprévisible. Comment comprendre ce basculement politique qui a porté au pouvoir un homme sans expérience politique ni véritable mouvement structuré derrière lui, mais appartenant à une nouvelle extrême droite globale ?| CONTRETEMPS
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