Le président argentin d'extrême droite Javier Milei a été accueilli avec enthousiasme au Forum économique mondial de Davos. L'accueil chaleureux qui lui a été réservé est un signe de la direction que prend le radicalisme bourgeois dans la crise de plus en plus profonde du néolibéralisme.| CONTRETEMPS
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Partout dans le monde, des États-Unis au Brésil en passant par l'Inde, l'Italie ou la Hongrie, la question du fascisme est revenue au premier plan. Non pas simplement en raison de la progression - ou des victoires électorales - d'organisations d'extrême droite, mais aussi du fait d'indéniables poussées autoritaires et d'une accélération des politiques de destruction des droits des travailleurs·ses, couplées à la montée des nationalismes identitaires et à des processus de radical...| CONTRETEMPS
Cette victoire d'un économiste qui se définit comme "anarcho-capitaliste" - et qui appartient plus précisément au courant "paléolibertarien" analysé notamment par Pablo Stefanoni - ouvre en tout cas un scénario inédit et imprévisible. Comment comprendre ce basculement politique qui a porté au pouvoir un homme sans expérience politique ni véritable mouvement structuré derrière lui, mais appartenant à une nouvelle extrême droite globale ?| CONTRETEMPS
Quelques semaines après le retour au pouvoir de Trump, Ugo Palheta avait rencontré pour son podcast « Minuit dans le siècle » l’historienne Sylvie Laurent (autrice notamment du livre Capital et race, une hydre moderne, aux éditions du Seuil). Ensemble, ils avaient essayé de comprendre ce qu’il fallait attendre du pouvoir trumpiste dans les quatre années à venir, le type de projet qui caractérise actuellement Trump et le Parti Républicain, le niveau d’attaque qu’il fallait...| CONTRETEMPS
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