En pleine guerre froide, les JO d’été de Los Angeles de 1984 sont boycottés par l’URSS et 14 pays du bloc communiste. C’est la revanche du Kremlin au boycott des Américains et de leurs alliés des JO de Moscou de 1980.| Le Nouvel Obs
Pour les premiers Jeux organisés en Asie, c’est un jeune athlète né à Hiroshima qui allume la vasque, dix-neuf ans après la fin de la guerre.| Le Nouvel Obs
Trois ans après l’accession au pouvoir d’Hitler, Joseph Goebbels profite des Jeux pour faire la propagande de l’Allemagne nazie.| Le Nouvel Obs
Constructions disproportionnées, dérapages financiers, héritage mal pensé… et crise financière quelques années plus tard : les Jeux dans la capitale grecque il y a vingt ans ont surtout marqué par leurs conséquences économiques.| Le Nouvel Obs
En soutien à chaque édition des Jeux depuis 1928, la marque Coca-Cola va atteindre l’apogée de sa commercialisation aux Jeux olympiques d’Atlanta, ville choisie au détriment d’Athènes, pour les JO du centenaire.| Le Nouvel Obs
Les premiers Jeux de l’après-guerre froide sont marqués par la fin de l’amateurisme et le changement de modèle économique de l’olympisme.| Le Nouvel Obs
L’absence des Etats-Unis, suivis par le Canada, la République fédérale d’Allemagne ou le Japon, est des plus visibles à Moscou. Le boycott, motivé par l’invasion de l’Afghanistan par l’URSS, n’empêche toutefois pas les Jeux de servir de « vitrine » à l’Union soviétique.| Le Nouvel Obs
Un boycott politique, massif et coordonné : 22 pays africains quittent la compétition pour protester contre la présence de la Nouvelle-Zélande, qui avait accepté d’envoyer ses All Blacks jouer dans l’Afrique du Sud ségrégationniste l’année d’avant.| Le Nouvel Obs
L’image de soutien du sauteur américain à ses compatriotes du 200 m a été oubliée – il ne sera pas sanctionné, à la différence de Smith et Carlos. Elle raconte pourtant aussi le bouillonnement politique de cette édition olympique de 1968.| Le Nouvel Obs
Dans une Italie divisée entre centristes et communistes, en pleine guerre froide entre Américains et Soviétiques, les Jeux de 1960 voient un Ethiopien, dont le pays fut envahi par les armées de Mussolini, remporter un marathon tracé sur les vestiges des empires romain et fasciste.| Le Nouvel Obs
Le 4 novembre 1956, l’armée soviétique écrase Budapest et la révolution hongroise. Un mois plus tard, les équipes de water-polo des deux pays se font face dans le bassin olympique. Un match où il n’est pas question que de victoire dans l’eau…| Le Nouvel Obs
Lors des Jeux finlandais, un rideau de fer symbolique sépare les athlètes occidentaux des soviétiques, qui ne logent pas au même endroit. Les participants de l’URSS n’en feront pas moins preuve d’un fair-play très étudié.| Le Nouvel Obs
Pour la première fois, des épreuves furent commentées en direct à la radio et les exploits, dans la piscine des Tourelles, de ce nageur hors norme donnent à tous l’image d’une Amérique triomphante. Mais celui qui n’est pas encore l’emblématique interprète de Tarzan n’est alors qu’un apatride.| Le Nouvel Obs
Lors des premiers Jeux olympiques suivant la fin de la Première Guerre mondiale, place aux vainqueurs du conflit : les nations vaincues ne même sont pas invitées. Pour l’Allemagne humiliée, le sport deviendra un lieu d’épanouissement de l’esprit de revanche.| Le Nouvel Obs
Accusé d’avoir été rémunéré pour des matchs de base-ball, l’athlète fut contraint de rendre ses deux médailles d’or remportées à Stockholm. Outre-Atlantique, Jim Thorpe demeure à la première place des plus grands sportifs américains de l’histoire.| Le Nouvel Obs
Défilé sous les drapeaux, classement des médailles : les sportifs des JO de Londres ne concourent plus seulement pour eux-mêmes mais pour une nation.| Le Nouvel Obs
Lors des premiers Jeux américains, deux « journées anthropologiques » ridiculisent leurs participants sur fond de pensée racialiste.| Le Nouvel Obs