L'Iran poursuit sa répression du mouvement « Femme, Vie, Liberté » en visant quelques-unes de ses figures les plus médiatiques. Il y a quelques semaines, la sentence de la traductrice Sepideh Rashno s'allongeait, approchant des quatre années de prison pour la publication d'« images obscènes ». Le rappeur Toomaj Salehi écope pour sa part d'une nouvelle année de détention, accusé de « propagande ».| ActuaLitté.com
Condamnée en 2021 et 2022 pour « propagande contre l'État » et « menace pour la sécurité de l'État », la journaliste et autrice Narges Mohammadi avait écopé en 2023 d'une peine supplémentaire. La justice iranienne prolonge encore sa sentence de 15 mois, à nouveau pour « propagande », dans une perspective de représailles contre une militante aussi acharnée que populaire.| ActuaLitté.com
Narges Mohammadi, journaliste et autrice iranienne engagée dans la défense des droits humains, Prix Nobel de la Paix 2023, et déjà détenue depuis 2021, vient de se voir condamnée en Iran à une nouvelle peine d'un an de prison pour « propagande ».| ActuaLitté.com