Le président argentin d'extrême droite Javier Milei a été accueilli avec enthousiasme au Forum économique mondial de Davos. L'accueil chaleureux qui lui a été réservé est un signe de la direction que prend le radicalisme bourgeois dans la crise de plus en plus profonde du néolibéralisme.| CONTRETEMPS
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Partout dans le monde, des États-Unis au Brésil en passant par l'Inde, l'Italie ou la Hongrie, la question du fascisme est revenue au premier plan. Non pas simplement en raison de la progression - ou des victoires électorales - d'organisations d'extrême droite, mais aussi du fait d'indéniables poussées autoritaires et d'une accélération des politiques de destruction des droits des travailleurs·ses, couplées à la montée des nationalismes identitaires et à des processus de radical...| CONTRETEMPS
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Cette victoire d'un économiste qui se définit comme "anarcho-capitaliste" - et qui appartient plus précisément au courant "paléolibertarien" analysé notamment par Pablo Stefanoni - ouvre en tout cas un scénario inédit et imprévisible. Comment comprendre ce basculement politique qui a porté au pouvoir un homme sans expérience politique ni véritable mouvement structuré derrière lui, mais appartenant à une nouvelle extrême droite globale ?| CONTRETEMPS
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