Au début du livre, deux mois après sa mort, Emmanuel Carrère assiste à l’hommage national rendu à sa mère, Hélène Carrère d’Encausse, après avoir vidé l’appartement de fonction de secrétaire perpétuelle de l’Académie française où elle résidait. Quant à moi, deux mois après sa mort, je m’apprête à partir chez ma mère vider la maison où elle a vécu les 40 dernières années de sa vie. Je me dis que la lecture risque d’être douloureuse. En fait pas trop. En l...| Mon Biblioblog
Pour les artistes, les queers, les femmes, les inadaptés, les vieux, les handicapés, les neuroatypiques, les parents, les pauvres, les non-conformes, les dégoûtées du sportA priori je ne suis pas particulièrement attirée par la musculation aussi, quand j’ai reçu la proposition de lire ce livre à l’occasion d’une Masse critique privilégiée, j’ai d’abord pensé que je […]| Mon Biblioblog