Oui, bien sûr, je l'avais déjà vu, il y a longtemps, mais c'est une douceur particulière que de dire à Marguerite : "tu avais aimé le bon, la brute et le truand, non ? Assez de temps a passé, ce soir on va regarder un autre film du même type." Et après les dix-quinze minutes de la scène d'ouverture, le type avec la goutte qui s'écrase sur son chapeau, la mouche sur la face du truand, le grincement de l'éolienne, le cliquètement du télégraphe et le grondement grondement gronde...