Après trois films, difficile de totalement cerner les intentions de Michael Roskam. D’abord, Bullhead : petit polar flamand mêlant imaginaire du terroir et emphase symbolique, rivé au corps dopé aux hormones de Matthias Schoenaerts, encore inconnu à l’époque. Puis, Quand vient la nuit : New York, l’hiver, Denis Lahane au scénario, une ambition plus feutrée, une intrigue […]