JOURNAL DE RESIDENCE| sensdessusdessous
Vient un moment, on ne marche plus. Ou plus beaucoup. Ou si difficilement qu’on ne peut plus appeler cela de la marche. Juste une progression désarticulée, centimètre par centimètre, souffle par souffle, tête penchée sur ses faibles progrès ou ses pénibles avancées. Viennent les séances où l’on vous soutient sous les aisselles et par la taille, quelques fois deux hommes robustes, quelques fois un homme svelte et une femme souriante et tous deux, presque en chœur, se fendent d...| sensdessusdessous
A cause de la couleur qui devait se trouver sur un vase, peut-être rempli de fleurs, sur un meuble, peut-être teinté au brou de noix, sur un tableau, peut-être représentant un sous bois à l’automne, sur un coussin, peut-être bleu ou ocre et posé sur le canapé gris, sur une statuette, peut-être un cadeau d’amis revenus du Tyrol, sur une tenture, un tapis, un napperon, un prospectus publicitaire, une bouteille de limonade, la vie s’écoulait sur le modèle d’une vie de famille...| sensdessusdessous
Où comment, dès la première phrase, dès le premier chapitre, | sensdessusdessous
Robert-Louis Stevenson en 1985, année de l'écriture du texte.| sensdessusdessous
- 1 - | sensdessusdessous
- 6 -| sensdessusdessous
- 11 - | sensdessusdessous
- 16 - | sensdessusdessous
- 21 - | sensdessusdessous
- 26 - | sensdessusdessous
- 31 - | sensdessusdessous
- 36 -| sensdessusdessous
- 41 -| sensdessusdessous
- 46 - | sensdessusdessous
- 51 -| sensdessusdessous
- 56 -| sensdessusdessous
- 61 -| sensdessusdessous
- 66 -| sensdessusdessous
- 71 - | sensdessusdessous
- 76 - | sensdessusdessous
- 81 - | sensdessusdessous
- 86 - | sensdessusdessous
- 91 -| sensdessusdessous
- 96 -| sensdessusdessous