« Peu importe le décor paradisiaque, je n’échapperai sans doute pas à mes propres névroses » : je ne pensais pas si bien conclure mon dernier article. Juste avant de prendre l’avion, j’ai appris que mon psy devait cesser sa pratique et c’est comme si on m’avait coupé l’herbe sous les pieds. Le transfert commençait tout juste à prendre très fort (ceux qui savent savent) et mon inconscient a très, très mal pris la nouvelle.